Pourtant, ces résultats, en cohérence avec les trois semaines de campagne qui les ont précédé, nous confirment que les racistes assumé-es sont désormais confortablement installé-es dans les insitutions et s’organisent dans la rue.
Cette séquence éléctorale exténuante est désormais terminée et il s’agit à présent, d’organiser, dès aujourd’hui, la résistance dans nos vies quotidiennes, en travaillant à la mise en réseau, à différentes échelles (du local à l’international), d’un maximum de collectifs et d’initiatives d’inspiration antifasciste.
Nous devons anticiper la suite, apprendre à nous défendre, mettre nos ressources en commun, renforcer les réseaux de solidarité là où ils existent déjà et les construire là où ils manquent.
L’histoire ne s’écrira pas sans nous.
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