Si cette action semble constituer une première dans la capitale comtoise, elle s’inscrit en effet dans une opération bien plus large de contestation de la chaîne militaro-industrielle destinée à alimenter la guerre de « Tsahal ». Nanterre était à nouveau prise pour cible en parallèle, le siège de la société ayant déjà été redécoré de façon similaire dans la nuit du 7 au 8 décembre 2023. Mais, de la maison-mère animée de façon régulière en passant par nos proches voisin·e·s de Dijon le 11 mars dernier, les manifestations plus « posées » se sont également multipliées depuis le 7 octobre.
La multinationale est souvent décriée pour son ancrage notoire dans le domaine martial et sécuritaire, mais les massacres actuellement opérés en particulier à Gaza ont suscité un regain d’hostilité à son égard.
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