7 juin de 14h à 17h : l’Interstice au Besac Antifa Fest !
Youhouuu ! l’Interstice participe au Besac Antifa Fest le samedi 7 juin !
Place Granvelle, nous allons danser, lire, parler, lutter, vibrer … vivre quoi ! et tout ça contre l’extrême droite !
C’est impossible de le nier, la menace fasciste se fait de plus en plus présente aujourd’hui.
Partout les idées d’extrême droite se banalisent.
À Besac aussi les fascistes et les réactionnaires sont de plus en plus décomplexéEs. Les agressions xénophobes, racistes, antisémites, homophobes, transphobes ou sexistes se multiplient dans l’indifférence presque générale.
C’est pourquoi il apparaît vital de créer une convergence antifasciste et intersectionnelle.
Cette soirée est organisée en soutien à la création d’une première édition d’un Besac Antifa Fest qui proposera des conférences, une manifestation, un village militant et une soirée festive…
Plus que jamais il faut réaffirmer notre présence et notre détermination à lutter contre l’extrême droite et ses idées.
L’antifascisme est l’affaire de toustes et c’est collectivement que nous devons lutter !
Besac est antifa et elle le restera 🖤

13 juin à 18h : Rencontre autour de « Exposer l’art urbain » – Festival Bien Urbain
Dans le cadre de Bien Urbain, pour la sortie de l’ouvrage « Exposer l’art urbain. modalités de présentation d’un art éphémère et contextuel », sous la direction de Cécile Cloutour, David Demougeot et Sophie Montel, publié aux Presses universitaires de Franche-Comté, 2025.
Cet ouvrage collectif réunit les réflexions et les échanges de plusieurs spécialistes de l’art urbain, suite au colloque « Expose aujourd’hui : l’art urbain »qui s’est tenu pour la 10e édition de Bien Urbain en 2021.
L’interstice vous accueille pour fêter la sortie de ce livre et échanger sur les enjeux de ce champ artistique.

14 juin à 18h : Rencontre auteur « Répertoire des subversions » Martin Le Chevallier – Festival Bien Urbain
Artiste et enseignant, Martin Le Chevallier vient nous parler de son livre « Répertoire des subversions. art, activisme, méthodes », paru en octobre 2024, chez Zones.
Il y recense, sous forme d’abécédaire, les tactiques jubilatoires inventées par des artistes et activistes pour déjouer la violence des dominations, en imaginant des formes d’action non-violentes inédites.
Avant la rencontre, Martin Le Chevallier propose de revisiter certaines actions artistiques et militantes lors d’une déambulation au centre-ville de Besançon.
Au programme :
 Déambulation, 14 juin à 16h
Départ Librairie l’Interstice, 43 rue Mégevand, Besançon.
Si vous souhaitez prendre part à cette déambulation collective, contactez Barbara (barbara@juste-ici.fr) pour toutes les informations concernant la répétition et le déroulé. Deux artistes présentés dans le livre, Carole Douillard et Julien Berthier, proposent des œuvres ce jour-ci. Retrouvez plus d’informations sur notre site à partir de fin mai
 Rencontre, 14 juin à 18h

21 juin de 9h à 17h : La Bourse aux livres de l’Interstice !
Plus d’info, bientôt !

22 juin de 14h à 17h : Les Festi’Vallières – Rencontre avec Marine De Francqueville et table de livres
Si vous ne connaissez pas encore les Festi’Vallières, il va falloir y remédier le dimanche 22 juin ! (25 chemin du champ Melin, Besançon, derrière Emmaüs)
Un beau festival aux portes de Besançon, porté par l’AMAP de la cagette du coin, pour mettre en avant une agriculture paysanne proche des gens !
Et cette année, l’Interstice y sera avec une belle table de livres pour la rencontre avec l’autrice illustratrice Marine De Francqueville !
Elle participera a une table ronde autour des questions paysannes à 16h !
Marine De Francqueville est une artiste illustratrice, elle est notamment l’autrice de « Celle qui nous colle aux bottes » aux éditions rue de l’Echiquier
Synopsis :
Si Marine a choisi un cursus artistique, loin de ses racines rurales, elle n’en a pas moins conservé une relation étroite avec son père, Thibault, un cultivateur passionné aux pratiques conventionnelles. Au fil des pages, elle entame avec lui un dialogue autour des grandes questions auxquelles est confrontée l’agriculture d’aujourd’hui : en quoi la modernité a-t-elle pesé sur les choix du monde paysan ? Les préoccupations environnementales sont-elles économiquement supportables ? Et quels chemins les générations successives peuvent-elles trouver pour continuer à se parler, à s’aimer ?