Le sujet n’est pas récent, mais il revient régulièrement sur le tapis. Avec les destructions d’immeubles qui se succèdent, ce sont autant de locataires qu’il faut prendre en charge. Si certain·e·s saisissent alors l’opportunité de s’implanter dans un secteur notamment extérieur à la ville, quelques-un·e·s espèrent bien conserver leurs habitudes tant que possible. C’est surtout pour celleux-ci que la situation vire parfois au cauchemardesque, ainsi que l’établissent divers témoignages relatifs aux premières tranches square Vincent Van-Gogh. Encore aujourd’hui, plusieurs dossiers alertent, comme aux Époisses, où les membres de la CNL viennent d’intervenir afin de dénoncer « le coût humain, écologique et financier de ce NPRU ».
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